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157. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. » pp. 357-396

Pour y réussir, il a un tête-à-tête avec Cléante.

158. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Par là, il réussit à intéresser toujours, en évitant toujours de surprendre. […] Cette tentative ne réussit pas. […] Il ne se flatte pas follement d’y réussir par le ridicule, à quoi l’hypocrite n’est guère prenable, et que Molière d’ailleurs lui enseignerait plutôt à éviter : il emploie la raison et la terreur. […] Cet homme qui ne sait point écouter patiemment de méchants vers, ni perdre tranquillement son procès, ni tolérer les modes du jour, ce bourru qui rudoie odieusement son ami et sa maîtresse, ne dit lien qui justifie sa haine du genre humain, et surtout ne fait rien qui soutienne l’emphase de sa vertu ; il est simplement un fou dont le poète a justement voulu rire, et le triomphe de son art est d’avoir réussi à le moquer sans pourtant le rendre trop ridicule, puisqu’enfin quelque chose de généreux et de fier est au fond de sa folie.

159. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Elle aime bien Clitandre ; elle lui donne mille preuves de sa tendresse ; elle n’oublie rien pour faire réussir leur mariage.

160. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. D’Ancourt imitateur, comparé à Moliere, la Fontaine, Saint-Yon, le Sage, Montfleury, &c. » pp. 133-184

sont remplies d’aventures arrivées réellement à diverses personnes ; mais elles n’étoient pas dignes d’être imitées, ou l’imitateur y a mal réussi, puisque les ouvrages dont elles sont l’ame n’ont fait que voir le jour & disparoître.

161. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

Cette pièce ne fut jouée qu’à la Cour et ne pouvait guère réussir que par le mérite du divertissement et par celui de l’à-propos.

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