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118. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXI. De la Catastrophe ou du Dénouement. » pp. 503-516

Il est question dans les deux comédies de rompre un hymen projetté par l’intérêt, pour en faire un plus heureux & mieux assorti : dans les deux comédies on en vient à bout par une fausse nouvelle qu’on annonce.

119. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

On a perdu de belles heures à débattre ces grandes questions, et voilà pourtant ce que Fontenelle aurait vu chez nous s’il avait vécu cent trente et un ans ! […] Alors Molière, qui aimait à haranguer, arrêté tout à coup par cette défense inattendue, et voyant remettre en question cette question tant débattue, vint annoncer sa défaite à cette foule inquiète et attentive. […] Enfin la critique a ses audaces tout comme la poésie a les siennes, seulement l’une et l’autre doit tâcher que son audace soit heureuse et habile… Feliciter audet , et voilà toute la question. […] C’est là, en ces sortes d’affaires, une question bien simple et bien naturelle, et pourtant, Sganarelle ne s’est même pas demandé quel âge il a ! […] À cette question qu’il s’adressait à lui-même, il se sera fait cette terrible réponse : le portrait de la prude !

120. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Unités. » pp. 352-366

Indépendamment de ses ouvrages dramatiques, nous avons de lui une histoire raisonnée du Théâtre Italien, depuis la décadence de la Comédie Latine jusqu’à son siecle ; un poëme italien sur la déclamation ; des observations sur la comédie & sur le génie de Moliere, ouvrage dont il est souvent question dans celui-ci ; des réflexions historiques & critiques sur les différents Théâtres de l’Europe, avec des pensées sur la déclamation ; un ouvrage intitulé la Réformation, dans lequel il a souvent des vues qui seroient tout-à-fait opposées au goût de notre siecle.

121. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. Des Pieces intriguées par une Soubrette. » pp. 135-150

Il est ensuite question de brouiller les deux jeunes amants, sans quoi Accante, espérant de s’unir à la fille, ne voudroit certainement pas épouser la mere.

122. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70

Arlequin a tout entendu, croit qu’il a été question de Camille, fuit sans être apperçu, & se cache.

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