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60. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre premier. » pp. 5-11

La vérité est que madame de Sévigné, dont pas une locution n’a vieilli, Descartes, Pélisson, Pascal, Malherbe, Régnier, Corneille, avaient écrit longtemps avant qu’aucun des écrivains du siècle de Louis XIV eut paru dans la littérature, même avant le règne de ce prince.

61. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

En 1673, Mithridate mit sous les yeux du prince conquérant et galant                                      Le naufrage élevé D’un roi vaillant……………………………… Que Rome et quarante ans ont à peine achevé. […] Elle écrivit nettement à Bussy-Rabutin, à la nouvelle de la nomination des deux poètes, qu’ils n’étaient pas capables de bien faire l’histoire du roi, non faute de talent, mais parce qu’ils avaient l’habitude de louer et de flatter ce prince (lettre 617).

62. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127

C’est en 1607, deux ans et demi après le départ des Gelosi, que fut jouée la petite pièce dont l’Estoile rend compte dans les termes suivants : « Le vendredi 26 de ce mois (de janvier), fut jouée à l’Hôtel de Bourgogne une plaisante farce, à laquelle assistèrent le roi, la reine et la plupart des princes, seigneurs et dames de la cour.

63. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre III » pp. 30-37

Il est fort présumable que le Ier volume, qui était du goût de tout Paris et du goût de Henri IV lui-même, tout éloigné qu’était ce prince des amours platoniques, ne déplaisait pas non plus à l’hôtel de Rambouillet.

64. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Un instant le parterre pensa que Nicolas allait parler… On le vit tomber sans pousser un seul cri… Nicolas Joubert, le dernier prince des sots, était mort ! […] dit la princesse au prince amoureux. […] Elle part, elle arrive, elle dit au roi que dans huit jours, s’il veut se fier à la fille de Gérard, il redeviendra, tout à fait, le prince bien portant d’autrefois. […] paie la dette de ton prince !  […] C’était le beau temps de Florence, le temps des grands princes, des riches marchands, des belles dames, des artistes célèbres, des poètes et des conteurs.

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