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231. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. » pp. 125-143

La piece tant & tant louée, Qui fut derniérement jouée, Avec ses agréments nouveaux, Dans la belle maison de Vaux, Divertit si bien notre Sire, Et fit la Cour tellement rire, Qu’avec les mêmes beaux apprêts, Et par commandement exprès, La troupe comique excellente, Qui cette piece représente, Est allée encor de plus beau La jouer à Fontainebleau...

232. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462

Un de ses amis, nommé Thoward, rit de sa passion, propose au Fermier de céder sa fille au Lord moyennant une somme : le pere frémit d’indignation : le Lord désavoue son indigne ami : sa tendresse prend de nouvelles forces : il ne peut vivre s’il ne possede Fanni, il la demande au vertueux Adams qui lui oppose la distance qu’il y a de son maître à sa fille.

233. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

De quoi s’entretiendront ces nouveaux époux, lorsqu’après le tumulte de la noce, ils se retrouveront dans la douceur du tête-à-tête ? […] Elle se complaît surtout dans la galanterie quintessenciée, nouveau trait qui lui est commun avec les premières précieuses.

234. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

Elle la fit passer dans l’appartement de la Reine, pour lui donner un spectacle si nouveau. […] Et l’on était près de commencer la pièce quand il arrive de nouvelles défenses de la représenter, de la part des personnes préposées pour faire exécuter les ordres du Roi. […] La bonté que le Roi eut de permettre que le Tartuffe fût représenté, donna un nouveau mérite à Molière. […] Il appréhendait le mauvais compliment du Courtisan prévenu : Il envoyait seulement Baron à la découverte, qui lui rapportait toujours de mauvaises nouvelles.

235. (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20

Plus tard, presqu’à la fin de sa vie, et comme s’il avait voulu couronner son œuvre par un dernier et plus vif enseignement, nous le voyons dans Les Femmes savantes faire de nouveau justice de cette affectation, de ces prétentions qui déparent les plus belles et les plus méritantes et semblent effacer leurs avantages les plus réels.

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