. | Je mourois d’envie de me débarrasser du personnage : je marche vîte ; je m’arrête ; je parle tout bas à mon valet : je suois à grosses gouttes. . . . . . . […] « Cet enfant, dit-elle, ne mourra ni par le poison, ni par le fer de l’ennemi ; il ne mourra ni de fluxion de poitrine, ni de pleurésie, ni de goutte : ce sera un causeur impertinent qui le fera expirer tôt ou tard : s’il est sage, qu’il évite, quand il sera plus âgé, les grands parleurs ». […] que je meure si j’entends rien aux affaires : d’ailleurs, je suis pressé d’arriver où vous savez. — Je ne sais trop ce que je dois faire, vous laisser, ou mon procès. — C’est votre procès qu’il faut suivre. — Non, je vais avec vous. […] Regnier ne laisse pas échapper l’horoscope de cette magicienne lui prédisant dans son enfance que le fer, le poison & toutes les maladies respecteront ses jours, mais qu’un causeur impertinent le fera mourir d’ennui. […] Les déréglements de sa jeunesse ne le laisserent pas jouir d’une longue vie ; il mourut à Rouen dans sa quarantieme année, le 22 Octobre 1613.
Tu mourras le premier. […] Tu mourras le premier. […] Il faut mourir, Don Pedre, ou venger mon honneur. […] Don Pedre, à vos côtés je viens vaincre ou mourir. […] Tous ces discours sont superflus, il faut qu’il meure.
Il fut conservé à la réunion de 1680, quitta le théâtre le 18 avril 1689, avec la pension de 1 000 francs, et mourut vers la fin de 1695. […] Conjecture qu’il mourut, en cette année, du chagrin que lui causa le mariage de sa fille Thérèse Lenoir, avec Dancourt qui l’avait enlevée. […] Mademoiselle du Parc mourut le 11 décembre 1668. […] Mademoiselle de Brie mourut le 19 novembre 1706. […] Il mourut en 1665.
Cloris, qu’on vante si fort, M’aime d’une ardeur fidèle ; Si ses yeux voulaient ma mort, Je mourrais content pour elle. […] Bien qu’avec pleine tendresse Myrtil me puisse chérir, Avec toi je le confesse ; Je voudrais vivre et mourir. […] Plus jamais aimons-nous, Et vivons et mourons en des liens si doux.
Ces deux Bergeres se retirent ; & Cloris, qui arrive avec son ami Tyrse, lui raconte tout ce qu’il souffre des rigueurs de Mylas, & proteste qu’il mourra s’il ne parvient pas à la toucher. […] On lui dit quel a été le désespoir de Cloris & la résolution qu’il a prise de mourir ; elle s’attendrit sur le sort de ce Berger, & se reproche sa cruauté. […] Il mourut en 1759. […] Il mourut à Paris le 9 Janvier 1757, à cent ans moins un mois deux jours. […] Neuf jours avant, il sentit une diminution considérable dans ses forces : son extinction fut cependant plus lente qu’il ne l’avoit prévu ; ce qui lui fit dire : Je ne croyois pas faire tant de façons pour mourir.