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218. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIII. Examen de quelques Caracteres. » pp. 350-377

 A cet hymen si je donnois les mains,   Abandonné dans ma vieillesse, Réduit à cet état dont j’ai cent fois frémi,  Je vivrois seul, & mourrois de tristesse, De perdre en même temps ma fille & mon ami...

219. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. M. COLLÉ. » pp. 354-380

Il ne me reste plus qu’à me cacher loin du monde, & qu’à mourir dans l’oubli.

220. (1824) Notice sur le Tartuffe pp. 91-146

« Auguste fit mourir un bouffon qui avait fait raillerie de Jupiter, et défendit aux femmes d’assister à ses comédies plus modestes que celles de Molière. […] Songez seulement si vous oserez soutenir à la face du ciel des pièces où la vertu et la piété sont toujours ridicules, la corruption excusée et toujours plaisante… « La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien, qui, en jouant son Malade imaginaire, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d’heures après, et passa des plaisanteries du théâtre, parmi lesquelles il rendit presque le dernier soupir, au tribunal de celui qui dit : Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez ! 

221. (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436

Notice historique et littéraire sur Mélicerte et sur La Pastorale comique La reine, mère de Louis XIV, était morte au commencement de 1666.

222. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Sosie, qui meurt de faim, brûle d’être aux prises.

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