En voici deux couplets : Fa la ut a mi modo nel cantar Re mi si on non aver lingua a quel la Che sol fa profession di farme star, Mi re resto in questo La berinto, ch’ogni mal discerno Che la mi sol fa star in questo inferno.
Il faut attendre le temps du voyage de Barèges, et le faire si le petit duc le fait… J’ai grande envie d’aller à Maintenon, mais les maux de ces enfants me retiennent. » Les irrésolutions concernaient l’alternative de se retirer de la cour ou d’y continuer sa résidence.
Ce n’est certainement point ici l’acte solennel d’un père justement courroucé, foudroyant la tête d’un enfant coupable ; c’est simplement le trait d’humeur, la saillie de colère d’un vieillard jaloux qui, trouvant un rival dans son fils, s’irrite assez injustement d’une résistance assez légitime ; ainsi, la plaisanterie de ce fils, criminelle, si la malédiction eût été sérieuse et méritée, reste seulement indécente, dès qu’elle ne fait que répondre à une boutade ridicule et mal fondée. […] Le mari, bien averti, croit chaque fois avoir le moyen de prouver aux parents de sa femme qu’elle se conduit mal ; et chaque fois la malice de cette femme fait tourner à la confusion de son mari ce qui devait tourner à la sienne.
Quelle est amusante sous la robe de ce soi-disant médecin, que son art a maintenu si jeune, lorsqu’elle conseille à Argan de se faire couper un bras pour que l’autre profite mieux, et qu’elle rapporte tous ses prétendus maux au poumon !
Leur sexe aime à jouir d’un peu de liberté : On le retient fort mal par tant d’austérité ; Et les soins défiants, les verroux & les grilles Ne font pas la vertu des femmes ni des filles : C’est l’honneur qui les doit tenir dans le devoir, Non la sévérité que nous leur faisons voir.