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172. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135

Vous jugez de la joie de Molière occupé à écraser, un à un, sous ses deux ongles, M. 

173. (1871) Molière

Ainsi, l’amoureux Sganarelle est un pantin dont cette aimable fillette, en riant, tient tous les fils ; et jugez de l’étonnement de ce triste sire, en voyant comme on s’est amusé de sa vaine sagesse !

174. (1879) Les comédiennes de Molière pp. 1-179

Item veut et entend ladite damoiselle testatrice qu’il soit dit et célébré à perpétuité, soit en ladite église Saint-Paul, soit dans un monastère, tel que voudront choisir le sieur son frère et les damoiselles ses sœurs, deux messes basses de requiem par chacune semaine, dont sera passé contrat de fondation ou ce qu’il conviendra, et que pour ce qu’il soit payé et baillé telle somme qui sera jugée suffisante, à prendre sur ses biens. Item veut et entend il soit employé en acquisition de rentes ou héritages une somme suffisante, comme il sera jugé et avisé par les damoiselles ses sœurs, pour, des fruits et revenus qui en proviendront, être payé par chacun jour, i perpétuité, à cinq pauvres qui seront nommés par lesdites damoiselles ses sœurs et par l’ainé des enfants de la damoiselle de Molière, l’une d’elles, et de ceux qui naîtront dudit aîné, cinq sols en l’honneur des cinq plaies de Notre-Seigneur, qui sera un sol à chacun desdits pauvres, auxquels la distribution de cette aumône sera faite de semaine en semaine par M. le curé de ladite paroisse Saint-Paul et par MM. ses successeurs audit Saint-Paul. […] On peut juger que c’était une de ces nonchalantes natures qui vont où va le vent.

175. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

Plus tard elle inaugura sa statue, et le hasard voulut que la statue de celui qui n’avait pas été jugé digne même d’une prière, s’élevât chrétiennement à côté de la statue de Bossuet.

176. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

« Jugez d’un gouvernement par ceux qu’il place. […] Talleyrand. » II, page 110 : V : « Lorsqu’une pièce est faite pour être jouée, il est injuste de n’en juger que par la lecturc. » B : « Une pièce pour être bonne doit être approuvée par le parterre du théâtre pour lequel l’auteur l’a faite. » II. page 117 : V : « Combien de vertus et de vices sont sans conséquence !  […] dit avec un air affecté, le sot qui est derrière moi, il ajoute en raisonnant avec une vieille badaude aussi affectée que lui : « D’abord, c’est que la Mysantropie [sic] tient toujours je crois à de la mauvaise humeur. » Telle est la connaissance du cœur humain avec laquelle ils jugent.

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