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113. (1769) Éloge de Molière pp. 1-35

Qu’ils contemplent dans Le Malade imaginaire la douleur touchante d’Angélique aux pieds de son père qu’elle croit mort, et les transports de sa joie quand il ressuscite pour l’embrasser.

114. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240

La sanction de la morale de Molière est dans le sentiment de joie et de dignité qu’inspire le devoir accompli ; dans l’estime de soi-même et des autres consciencieusement acquise ; dans l’espoir du bonheur pur et sans remords que la vertu seule peut donner ; dans la sérénité d’âme et la tranquillité de cœur que porte en soi le seul honnête homme.

115. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322

Arlequin est au comble de la joie.

116. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Sa joie éclate, & le courroux de Cléanthis augmente.

117. (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461

Elle fut, dans ces voyages, une des plus douces joies de Molière. […] — Veux-tu de ces enjouements épanouis, de ces joies toujours ouvertes ? […] Ce premier fils devait avoir huit ans à peu près, quand il mourut ; c’est assez pour qu’on ait eu le temps de mettre tout son espoir dans un enfant, surtout lorsque, comme Molière, on est contraint de ne demander au ménage d’autres joies que celles de la paternité ; surtout, lorsque sachant trop bien que la femme infidèle à son devoir d’épouse ne devra pas bien remplir d’autres devoirs, le père se fait un bonheur d’être, à lui seul, toute une famille pour son enfant. […] Quand Molière ne fut plus là pour imposer la représentation de sa pièce, elle disparut de l’affiche, à la grande joie rie la cabale et au grand déplaisir de la veuve du poète, qui, si elle ne tenait pas beaucoup à la gloire de son mari, avait du moins grand souci de l’argent que rapportaient ses œuvres. […] Quand Molière avait été père une première fois, Louis XIV, nous l’avons dit, avait voulu être le parrain de son enfant ; or, une fille vient encore de naître de ce mariage calomnié, et c’est peu de jours après cette naissance, comme pour y ajouter une joie de plus, que le roi accorde à Molière la faveur dont nous venons de parler.

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