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100. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXVIII. De l’exposition des Caracteres. » pp. 433-447

Content d’une fortune égale à mes souhaits, J’y sens tous mes desirs pleinement satisfaits.

101. (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)

un problème moral, voire même social, contemporain, certes, mais en un sens aussi universel : la naissance, le rang, la fortune, un ensemble d’avantages exceptionnels qui l’élèvent au-dessus du commun, peuvent-ils permettre à l’homme qui en bénéficie de soumettre à ses passions et à ses caprices, une foule faible, mal défendue, une Elvire, une Mathurine, un pauvre pécheur, un M. 

102. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IV. Le théâtre des Gelosi » pp. 59-79

Une fois à Naples, le capitaine, oubliant ses promesses, y demeura trois ans, Cinthio, n’en recevant point de nouvelles, se décida à chercher, et avec une meilleure fortune, un mari à sa sœur.

103. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

La marquise de Rambouillet joignait, aux avantages de la naissance et de la jeunesse, une grande fortune.

104. (1802) Études sur Molière pp. -355

Deux bonnes fortunes attendaient Pocquelin au collège : il y suivit le cours des classes d’Armand de Bourbon, premier prince de Conti, qui dans la suite devint son protecteur, et il y fut accueilli par le célèbre Gassendi. […] Le jeune homme profite des leçons de son maître, cherche fortune, plaît à une belle, et cette belle est la femme du docteur. […] L’on s’explique enfin, l’oncle abandonne ses prétentions, le neveu rend l’or, le père touché, lui fait présent de sa fortune et de sa fille. […] La moralité. — Excellente, puisqu’elle tend à corriger un travers de tous les temps, de tous les lieux ; excellente surtout, par l’adresse qu’a Molière de placer son héros dans une classe qui, grâce à sa fortune, peut le mettre aux prises avec les charlatans de tous les états, depuis l’homme de cour jusqu’au baladin. […] Deux pédants également vains nous sont offerts ; mais Trissotin estime assez la fortune pour être préparé d’avance aux événements fâcheux d’un hymen mal assorti ; Vadius, ne songeant qu’à l’intérêt de sa ballade, se prépare à composer un poème contre celui qui l’a dédaignée.

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