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150. (1824) Notices des œuvres de Molière (VIII) : Le Bourgeois gentilhomme ; Psyché ; Les Fourberies de Scapin pp. 186-466

La seconde comprend ces pièces, tantôt héroïques, comme La Princesse d’Élide, Les Amants magnifiques et Psyché ; tantôt comiques ou même bouffonnes, comme L’Amour médecin et Le Mariage forcé, George Dandin et Pourceaugnac, qu’il concevait et exécutait à la hâte, pour obéir aux ordres du Roi.

151. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre III. Le théâtre est l’Église du diable » pp. 113-135

Saint-Évremond, un bel esprit de cette famille des beaux esprits, disait souvent que les grands admirateurs étaient de sottes gens, et La Bruyère, qui se plaignait, puisque les grands sujets lui étaient défendus, d’être forcé de faire la satire des ouvrages de l’esprit, indique à merveille les limites de la critique : « Il ne faut pas, dit-il, mettre un ridicule où il n’y en a point, c’est se gâter le goût, c’est corrompre son jugement et celui des autres.

152. (1871) Molière

Encore une fois, en épousant cette Armande Béjart, il avait manqué de prudence ; il ne s’était pas assez souvenu de la leçon de L’École des femmes, et de l’enseignement du Mariage forcé.

153. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Boileau, qui n’avait pas encore fait la fortune que ses talents lui valurent depuis, s’étant trouvé aux eaux de Bourbon, malade et sans argent, Boursault, qui se rencontra par hasard dans le même endroit, le sut, et: courut lui offrir sa bourse de si bonne grâce, qu’il le força de l’accepter.

154. (1862) Corneille, Racine et Molière (Revue chrétienne) pp. 249-266

L’autorité de son nom eût rassuré les vrais dévots et forcé les autres au silence.

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