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144. (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44

« Plût à Dieu, dit le grand-père de Molière à son fils, que ce petit garçon fût aussi bon Comédien que Bellerose. » Ou ce bon homme radotait, ou comme habitant des piliers des Halles, il avait peu de christianisme. […] Molière pouvait bien sans lui, faire entendre raison à ce jeune fils d’Avocat.

145. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190

Dans cette troupe s’était engagé le fils d’un tapissier, valet de chambre du roi, Jean-Baptiste Poquelin, qui se fit appeler Molière. […] Le fils du docteur faisait les seconds amoureux sous le nom de Virginio.

146. (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58

Entêtée de Tartuffe, elle trouve que son fils Orgon n’en est pas assez coiffé, et l’évidence même ne la tirera pas de son erreur. […] Elle est mariée à Orgon qui l’a épousée en secondes noces, et lui a apporté un grand fils et une grande fille. […] Ce fils et cette fille, qui auraient pu la voir d’un œil jaloux, elle a su se ménager leur amitié. […] Orgon s’en plaint : Pour mon fripon de fils je sais vos complaisances.

147. (1759) Moliere (Grand Dictionnaire historique, éd. 1759) [graphies originales] « article » pp. 604-605

De Grenoble il vint à Rouen en 1658 : d’où il vint à Paris, où il obtint la protection de Gaston, fils de France, qui le présenta au roi & à la reine mere.

148. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE V. » pp. 71-105

Il se croit le fils du Roi Castillan, & passe pour tel. […] A peine est-elle en âge d’être mariée que son ennemi projette de l’unir à son fils, pour lui assurer des droits au trône. […] Jusques-là le changement est heureux ; mais quelle peine ne faut-il pas pour deviner comment le Roi de Castille a pu persuader à ses sujets que Don Silve étoit Don Alphonse son fils ?

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