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209. (1884) Tartuffe pp. 2-78

C’était lui que Molière montrait « par l’exemple d’une affaire domestique, passant à s’ingérer dans les affaires les plus secrètes et les plus familières des familles » et mettant en usage les adresses d’Escobar pour capter la fortune de son hôte et caresser dévotement sa femme.

210. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Aussi ne suis-je point surpris du noble aveu de Molière, disant que, sans l’exemple du Menteur, il n’eût jamais fait que des comédies d’intrigue.

211. (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492

(1) Les trois vers substitués à ceux-ci par les éditeurs de 1682, qu’ici tous les autres ont suivis, sont un exemple bien remarquable des libertés souvent malheureuses et toujours répréhensibles qu’ils ont prises à l’égard du texte de Molière.

212. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Elle prend une entremetteuse en titre, la Châteauneuf, et ne refuse aucun des nombreux amans que cette matrone lui présente « pendant qu’elle fait languir une infinité de sots qui la croient d’une vertu sans exemple. » Ne voilà-t-il pas deux choses assez difficiles à concilier, « l’éclat » d’une vie galante et une cour d’amoureux transis ?

213. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Sa facilité était admirable ; il y en a dans le registre de La Grange un exemple curieux, qui semblerait faire remonter jusqu’à lui l’invention de ce qu’on appelle au théâtre les scandales, — si le scandale n’était, par essence, aussi ancien que le théâtre même.

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