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98. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308

Dans l’exemple que je viens de citer des Femmes Savantes, ce que fait Clitandre tient & sert à la machine générale, puisqu’il prie l’oncle de sa maîtresse d’être favorable à son amour, & que c’est en conséquence de cette priere, qu’Ariste agit & fait le dénouement.

99. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VIII. Le Mariage. » pp. 145-165

Est-ce par nécessité de comédie, et pour fournir un dénouement que tous ces beaux amours aboutissent au mariage496 ?

100. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre X. La commedia dell’arte en France pendant la jeunesse de Molière » pp. 160-190

Et, au dénouement de la Fronde, la veille du jour (21 octobre 1652) où le jeune roi va rentrer dans sa capitale, la duchesse d’Orléans, si l’on en croit Retz, a recours aux mêmes souvenirs du théâtre italien pour caractériser la ridicule attitude du duc d’Orléans.

101. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377

L’année suivante n’amènera pas encore le dénouement de ce drame, mais y jettera des incidents propres à en ranimer l’intérêt.

102. (1900) Molière pp. -283

Est-ce que jamais personne d’entre vous a pu se reconnaître au milieu de ces suppositions de personnes, de ces changements de noms, de ces déguisements, de ces filles perdues et retrouvées, retrouvées et perdues, qui forment toute l’intrigue et le dénouement du Dépit ? […] Vous n’avez qu’à vous rappeler L’Avare, L’Étourdi, où il va chercher un dénouement à Alger, et maint autre exemple. […] Molière ne termine aucune de ses pièces ; à vrai dire, il ne fait de dénouement à aucune d’elles, il ne s’en donne pas la peine. […] Ce dénouement, il est le même au fond pour L’Étourdi, pour Le Dépit amoureux, pour L’Avare, pour L’École des femmes, pour Les Fourberies de Scapin. […] Chez Molière, l’intrigue est nulle, le sujet matériel presque toujours emprunté, le dénouement forcé ; mais les caractères sont d’une vérité que le temps n’a pas encore altérée.

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