Mon cher Blacmore, allez, faites-leur compagnie : Tout en se promenant elle prendra leçon.
Une troupe de jeunes gens s’était formée en compagnie dramatique, sous ce beau titre : l’Illustre Théâtre, où je retrouve toute la modestie que la jeunesse n’eut jamais. […] Il lui fallait bien une compagnie, et cette mort de M. de Singlin la laissait, d’ailleurs, si triste et si esseulée, comme on disait encore en ce temps-là ! […] Mais il n’importe, la Compagnie était assemblée, Molière alloit commencer, lorsqu’on vit arriver un homme, fort échauffé, qui dit tout bas à cette personne : « Quoi ! […] Oui, Molière lui-même avec ces farceurs, Molière qui semble jouer un rôle en leur compagnie. et à qui, sur ce plain pied de l’égalité bouffonne, on n’a fait grâce que de deux choses : le nom de guerre et le costume. […] M. de Louvois, qui était de la troupe du roi, tira le président à part, et, s’étant démasqué, lui dit qu’il était le moindre de toute la compagnie.
Ce recueil fut traduit en français : « Les Bravacheries du capitaine Spavente, divisées en plusieurs discours en forme de dialogue, de François Andreini de Pistoie, comédien de la compagnie des Jaloux, traduites par J.
Mais le roi a entendu parler de ce que, vous demandez pour votre compagnie de cavalerie.
Sur ce principe il fut conclu que le roi viendrait chez madame de Montespan ; mais pour ne pas donner à la médisance le moindre sujet de mordre, on convint que des dames respectables et des plus graves de la cour seraient présentes à cette entrevue, et que le roi ne verrait madame de Montespan qu’en leur compagnie.