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138. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Baron, imitateur, comparé à Moliere, à Cicognini, à Térence, &c. » pp. 219-261

Charinus cherche Pamphile ; celui-ci croit à l’immortalité des Dieux, parcequ’ils font son bonheur.

139. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

« Je ne doute point que je ne hasarde beaucoup en donnant cet ouvrage au public ; il a eu tant de bonheur au théâtre qu’il est difficile qu’il en ait autant sur le papier, et que la méditation de la lecture n’y laisse découvrir des défauts que les agréments de la représentation semblent avoir jusqu’ici assez heureusement déguisés.

140. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Cependant il avoit crû que son bonheur seroit plus vif & plus sensible, s’il le partageoit avec une femme ; il voulut remplir la passion que les charmes naissans de la fille de la Béjart avoient nourrie dans son cœur, à mesure qu’elle avoit crû. […] Neanmoins il fallut bien s’appaiser, il n’y avoit point de remede ; & la raison fit entendre à la Bejart, que le plus grand bonheur qui pût arriver à sa fille, étoit d’avoir épousé Moliere, qui perdit par ce mariage tout l’agrément que son merite & sa fortune pouvoient lui procurer, s’il avoit été assez Philosophe pour se passer d’une femme. […] *Il n’eut pas le bonheur de parvenir à cette Indifference si utile aux maris disgraciez.

141. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

est d’un bonheur! […] Je laisse de côté les obstacles qu’il eut à surmonter pour la représentation, et dont peut-être il n’eût jamais triomphé, s’il n’avait en affaire à un prince tel que Louis XIV, et de plus, s’il n’avait eu le bonheur d’en être particulièrement aimé; je ne m’arrête qu’aux difficultés du sujet.

142. (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571

Les amants dont on fait les affaires par de tels moyens, ne peuvent intéresser en aucune manière ; et il y a du bonheur s’ils n’en sont pas un peu avilis.

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