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168. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

Mais, en vérité, je ne sais pas pourquoi ces critiques pensent, veulent, agissent ; ils devraient avoir prévu que le mouvement nécessaire imprimé aux rouages de leur propre machine par leur faculté maîtresse, c’est de s’embarquer pour les Indes, d’aller s’asseoir entre deux bons brahmanes, et de passer avec eux le reste de leurs jours dans la contemplation du bout de leurs pieds. […] Si ma mère le veut, je résous mon esprit / À consentir pour vous à ce dont il s’agit.

169. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIII. » pp. 436-488

Mais, je le veux, vous gagnerez votre procès : enfin ce n’est pas une affaire où il y aille de la vie ; il ne s’agit que d’argent....

170. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

Perrault*, agirent pour obtenir qu’il fût mis en curatelle. » 1.

171. (1739) Vie de Molière

Il n’y a que ceux qui ne savent point combien les hommes agissent peu conséquemment, qui puissent être surpris qu’on se moquât publiquement au théâtre, des mêmes Dieux qu’on adorait dans les temples.

172. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

Cependant on y reconnoît dans le jeu des personnages, une source de vray comique ; peres, amans, maîtresses, valets, tous ignorent mutuellement les vûës particuliéres qui les font agir, ils se jettent tour à tour dans un labyrinthe d’erreurs qu’ils ne peuvent démêler.

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