» Le 7 octobre 1655, à propos de l’estime que M. de Turenne lui avait témoignée pour elle : « … Il faut que je vous dise, madame, que je ne pense pas qu’il y ait au monde une personne si généralement estimée que vous… On s’accorde à dire qu’il n’y a point de femme de votre âge plus vertueuse et plus aimable que vous.
Il passe en Languedoc ; le Prince de Conti l’accueille avec faveur, lui accorde des appointements et lui confie la direction des fêtes qu’il donne à la province, pendant qu’il en tient les États. […] Le roi, voulant donner des encouragements aux gens de lettres qui contribuaient le plus à la gloire de son siècle, fit inscrire Molière sur la liste des pensionnaires, et lui accorda cent pistoles ; somme assez considérable pour le temps : la reconnaissance dicta ce remerciement. […] le Docteur accorde le pas à la matière, Arlequin soutient le contraire, et le prouve en racontant qu’un cordonnier lui ayant cassé la tête d’un coup de forme, la matière ne vint que longtemps après. […] Comment accorder tout cela ? […] La comédie du Tartuffe fut jouée à Chantilly, chez le grand Condé, le 2 septembre 1668 ; six mois après, Louis XIV accorda une nouvelle pension littéraire à son protégé, et permit définitivement que Paris pût jouir du chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre.
Louis XIV lui accorda une pension de deux mille livres : il ne fut pas ingrat, & chanta son bienfaiteur dans les prologues de ses opéra.
Ils conviennent entre eux de donner à leur niece la terre qui fait le sujet de leur dispute : ils ont été facilement d’accord sur ce point ; ils sont surpris d’avoir pu s’accorder si-tôt.
Ces deux professions ne s’accordent pourtant guere.