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88. (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126

Comme on a été obligé, pour que les rôles des Sganarelle, des Mascarille, des Scapin et des Crispin ne perdissent pas entièrement leur physionomie, de conserver leurs costumes, ils sont maintenant devenus tout à fait surannés. […] Panurge tient conseil sur sou mariage à venir, et les réponses qu’il reçoit de Pantagruel sont tout aussi sceptiques que celles du second philosophe à Sganarelle.

89. (1819) Notices des œuvres de Molière (IV) : La Princesse d’Élide ; Le Festin de Pierre pp. 7-322

Le Festin de Pierre avait été représenté la première fois tel qu’on le lit dans cette édition, c’est-à-dire avec la scène ou Sganarelle argumente contre son maître en faveur de Dieu, et celle où dom Juan, rencontrant un pauvre, lui donne, au nom de l’humanité , un louis d’or que celui-ci refusait de gagner par un jurement.

90. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

Sganarelle même, qui les précéda, n’est au fond que l’école des jaloux.

91. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

Quel triste et vrai ridicule versé sur Sganarelle, sur Arnolphe ; sur Harpagon, sur Alceste lui-même !

92. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IX. De l’Adultère et des Amours faciles. » pp. 166-192

Le Barbouillé, dans la Jalousie du Barbouillé, Sganarelle dans le Cocu imaginaire et le Mariage forcé, George Dandin dans le Mari confondu.

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