Il a fallu l’existence des éditions frauduleuses d’Amsterdam, 1683, et de Bruxelles, 1694, pour qu’au xixe siècle, les derniers éditeurs de Molière aient pu nous rendre enfin, à deux cents ans d’intervalle, le texte si péniblement complété du Festin de Pierre 8. […] Simonnin publia pour la première fois, d’après l’édition de 1683, les scènes que l’on croyait perdues. […] Cette partie du titre ne se trouve pas dans toutes les éditions ; je le donne d’après une fort ancienne que j’ai sous les yeux.
L’édition de 1778 dit de se croire enfermée. […] Edition de 1778.
Cette anecdote figure à la trente septième place dans l’édition de 1855.
Elle figure dans l’édition de 1855, à la sixième place.
Elle figure à la seizième place dans l’édition de 1855.
C’est la troisième anecdote dans l’édition de 1855.
Cette anecdote figure dans l’édition de 1855, à la douzième place.
Je ne parle point de ses Œuvres galantes, dont il y a plusieurs éditions. […] [Note marginale] Avertissement de la comédie de La Comtesse d’Escarbagnas, édition in-12, Paris, 1739. […] [Note marginale] Tome III, p. 23, édition de Paris de 1729. […] [Note marginale] Dictionnaire de Richelet, édition in-4°, Genève, 1680. […] [Note marginale] Lettres de Boursault, tome I, p. 219 et 120, édition de Paris, 1729.
Textuellement reproduit de l’édition de 1734 : Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière. […] VIII de l’édition de 1682, et ne fut représentée à la Comédie-Française que longtemps après la mort de Molière, le 15 octobre 1688. […] Dans le tome VII de l’édition de 1682. […] Cette date est celle de la première édition : le Cocher suposé, ou le Cocher de Madrid, comédie en 1 acte, avec divertissement, fut représenté pour la première fois le 9 juin 1684 : 13 représentations. […] Antérieur à cette date, puisque Chappuzeau le cite en 1674, et qu’il existe une édition de 1670.
Dans l’édition de 1855, cette anecdote figure à la vingt-cinq place.
Cette anecdote figure à la vingt-sixième place dans l’édition de 1855.
Cette anecdote est placée à la trente deuxième position dans l’édition de 1855.
Dans l’édition de 1855, cette anecdote est placée à la dix-septième place.
Cette anecdote est placée à la dix-neuvième place dans l’édition de 1855.
Cette anecdote figure à la vingt-septième place dans l’édition de 1855.
Cette anecdote est à la quarante quatrième place dans l’édition de 1855.
Cette anecdote figure dans l’édition de 1855, à la neuvième place.
Elle figure à la vingt-troisième place dans l’édition de 1855 du Moliérana.
Elle est placée à la vingt-huitième position dans l’édition de 1855.
Elle figure à la quarante-deuxième place dans l’édition de 1855.
Cette anecdote, dans l’édition de 1855, est à la cinquième place.
Cette anecdote figure, dans l’édition de 1855, à la quatorzième place.
Elle figure dans l’édition de 1855, à la cinquième place.
Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 à la vingt-deuxième place.
Elle fut reprise par Voltaire dans la deuxième édition du Tartuffe, 1764.
Cette anecdote figure à la trente cinq place dans l’édition de 1855.
Cette anecdote est à la dix-huitième place dans l’édition de 1855.
Dans l’édition de 1855, cette anecdote figure à la trente neuvième place.
Cette anecdote figure à la trentième position dans l’édition de 1855.
À la fin de la première édition (1772) figurent les Causes de la décadence du théâtre, qui demandent la création d’un second Théâtre-Français et seront rééditées jusqu’en 1802, année où il publie aussi des Essais sur Molière.
Cette anecdote, dans l’édition de 1855, est à la quarante et unième place.
Seconde anecdotes dans l’édition de 1855.
Dans l’édition de 1855, elle est placée à la vingt-neuvième position.
Préface Tous ceux qui ont donné des éditions des œuvres de Molière, les ont fait précéder de la vie de cet illustre comique.
Cette anecdote, dans l’édition de 1855, est placée à la trente sixième position.
Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 du Moliérana, à la treizième place.
Cette anecdote, dans l’édition de 1855, est placée à la trente quatrième place.
C’est une suite de discussions de critique historique, rédigées à l’occasion des erreurs répandues dans une multitude d’éditions nouvelles des écrivains du XVIIe siècle ou dans leur biographie.
Depuis nos éditions précédentes, beaucoup de travaux ont été continués ou entrepris sur la vie de Molière. […] Aimé-Martin alla les emprunter en 1837, pour cette même édition, dont nous venons de citer une note, et les donna comme une trouvaille de son fait. […] Déjà, depuis le tirage des premières feuilles de cette réimpression, nous ne sommes plus sûrs de n’avoir rien à en modifier dans une édition nouvelle. […] Édition des œuvres de Molière, cartonnée par ordre dans l’édition posthume. […] Il composa sur ce chef-d’œuvre une lettre apologétique assez mal écrite, mais mieux pensée, qui fut imprimée à la tête de la première édition.
Ces lettres ne sont point datées dans les nombreuses éditions qui ont été faites des œuvres diverses de Balzac, elles paraissent être de 1620 à 1630, temps où Balzac était âgé de 26 à 36 ans, et la marquise de 38 à 48. On en trouverait probablement la date précise dans l’édition complète des Œuvres de l’auteur, en 2 vol. in-fol., publiée en 1665, après sa mort, par l’abbé Cassaigne, son ami.
Elle est à la trente huitième place dans l’édition de 1855.
Dans l’édition de 1855, elle est placée à la vingt-une place.
C’est la première anecdote dans l’édition de 1855.
Cette anecdote est à la quarantième place dans l’édition de 1855.