/ 188
151. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273

Elle a vu le Médecin Onesti de sa fenêtre, & cette vue seule lui a rendu son appétit.

152. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41

Que sa conduite soulève l’indignation, et que les pleurs de son amante trompée attendrissent jusqu’à son valet38 ; que sa lâcheté hypocrite39 cause même assez d’horreur pour qu’on voie avec soulagement la foudre tomber enfin sur ce monstre40, cela n’est point discutable, et fait à première vue affirmer que ce spectacle est moral41.

153. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Il est sorti sur les pas d’Isabelle, qu’il prend pour Léonor, et il l’a vue entrer chez Valère ; et comme il n’est pas homme à se contenter du bien qui lui arrive, s’il n’est mêlé du mal d’autrui, il court informer Ariste du tort que l’on fait à son honneur. […] Jamais paroles plus charmantes sont-elles sorties d’un cœur paternel, que ces mots de l’excellent homme à la vue d’Henriette et de Clitandre se tenant par la main : …Ah !

154. (1800) De la comédie dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VI) pp. 204-293

tout le monde éclate de rire a la vue d’une pareille folie. […] Mais on lui persuada que c’était lui que Molière avait eu en vue dans le rôle de Lisidor, et il fit contre lui le Portrait du. […] Jamais Molière n’en a déployé autant que dans le Tartufe; jamais son comique ne fut plus profond dans les vues, plus vif dans les effets; jamais il ne conçut avec plus de verve et n’écrivit avec plus de soin.

/ 188