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212. (1686) MDXX. M. de Molière (Jugements des savants) « M. DXX. M. DE MOLIÈRE » pp. 110-125

À dire le vrai, ces pièces sont fort inférieures au Misanthrope, à L’École des femmes, au Tartuffe, et à ces grands coups de maître : mais elles ne sont pourtant pas d’un écolier, et l’on y trouve toujours une certaine finesse répandue que le seul Molière avait pour en assaisonner les moindres ouvrages.

213. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. Des Pieces intriguées par un Valet. » pp. 125-134

Il faut être vrai : tout ce que l’Auteur dit dans sa sortie contre les pieces intriguées par des valets, n’est pas bien vu ; mais le commencement décele la connoissance la plus étendue du théâtre de l’antiquité, & les réflexions les plus profondes sur l’art comique.

214. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215

Je vous attendois à cette objection, & je dis : si les noms ont de la peine à fournir du vrai comique dans une seule scene, comment en feront-ils naître assez pour remplir toute une piece ?

215. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

Depuis longtemps j’ai mon opinion arrêtée sur ce qu’il y a de vrai, de rare mérite dans Molière; et sur ce qu’il y a d’incomplet en lui.

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