La cause est au bailliage ainsi revendiquée : On plaide, & je me trouve enfin interloquée ! […] Nous ne trouvons à cette réponse, isolée de la situation, rien de fin, rien de malin, & sur-tout rien de comique.
Tel personnage qu’on trouve très singulier dans le monde ne paroîtroit que très ordinaire dans l’optique du théâtre, parceque tout doit y être considérablement chargé pour frapper suffisamment mille personnes, qui toutes ont différentes façons de voir. […] Si l’ingrate, à mes yeux, pour flatter votre flamme, A jamais n’être à moi vient d’engager son ame, Je saurai bien trouver, dans mon juste courroux, Les moyens d’empêcher qu’elle ne soit à vous.
Mes enfants, leur dit-il, je vais vous découvrir ma manie : je n’ai pu refuser ces mille écus à ce Banquier qui est mon intime ; à cela près je ne fais aucun usage de mon argent de peur qu’il ne se dissipe ; mon dessein est de n’y pas toucher tant que je vivrai, vous le trouverez après ma mort : je le destine à celle de vous deux dont je serai le plus content ; je le partagerai si je m’apperçois que votre tendresse soit égale. […] Le quarantieme jour si desiré arriva enfin ; on ouvrit le coffre-fort, on n’y trouva qu’un vuide affreux, & seulement une petite massue de fer dans un coin, avec ces vers écrits sur un morceau de papier : On a forgé cette massue Pour assommer le fils ingrat Dont l’esprit, le cœur scélérat, A mépriser un pere aisément s’habitue Dès qu’il s’est dépouillé pour lui de son trésor.
Nous passons les derniers souhaits, que nos lecteurs pourraient, comme la comtesse d’Escarbagnas, trouver d’un latin un peu trop malhonnête. […] Nous avons consulté, sinon la totalité, au moins un très grand nombre des éditions connues de Molière, et nous n’avons trouvé ces additions dans aucune.