ventrebleu, qu’en faire dans nos troupes ?
La troupe ne joue presque plus rien de son répertoire national.
Bien qu’aucun des autres n’ait survécu, on ne distinguait pas alors celui de Molière ; on le confondait môme avec celui des Italiens, qui jouaient alternativement avec la troupe de Molière sur le même théâtre (Voir J.
Le public même n’en demandait pas plus ; et la preuve, c’est le succès de Mélite, le premier des ouvrages de Corneille, lequel n’excita guère moins d’applaudissements que le Cid neuf ans après, et rendit nécessaire rétablissement d’une seconde troupe de comédiens. […] N’avait-il pas à faire vivre sa troupe ?