/ 140
117. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XV. M. DE CHAMFORT. » pp. 420-441

ventrebleu, qu’en faire dans nos troupes ?

118. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVI. Les derniers temps de la comédie italienne en France » pp. 311-338

La troupe ne joue presque plus rien de son répertoire national.

119. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41

Bien qu’aucun des autres n’ait survécu, on ne distinguait pas alors celui de Molière ; on le confondait môme avec celui des Italiens, qui jouaient alternativement avec la troupe de Molière sur le même théâtre (Voir J.

120. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Le public même n’en demandait pas plus ; et la preuve, c’est le succès de Mélite, le premier des ouvrages de Corneille, lequel n’excita guère moins d’applaudissements que le Cid neuf ans après, et rendit nécessaire rétablissement d’une seconde troupe de comédiens. […] N’avait-il pas à faire vivre sa troupe ?

/ 140