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189. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19

La mouche tout d’un coup à la tête vous monte ; Et, sans considérer s’il a raison ou non, Votre esprit contre moi fait le petit démon.

190. (1765) [Anecdotes et remarques sur Molière] (Récréations littéraires) [graphies originales] pp. 1-26

Le Docteur met la tête à la fenêtre, & leur fait à tous des réprimandes : il descend pour mettre la paix entr’eux ; ils se sauvent tous pour se dérober à la volubilité de sa langue, & le Barbouillé plus impatienté que les autres, pendant qu’il poursuit ses déclamations, lui attache une corde au pied, & l’ayant fait tomber, le traîne à écorche-cul jusques dans la coulisse, avec quoi finit la Comédie.

191. (1858) Molière et l’idéal moderne (Revue française) pp. 230-

Les hommes de ce temps-là ne sont pas des chercheurs, des coureurs inquiets et fatigués, qui demandent à une tête chérie quelques jours de repos ; ils ne croient pas voir dans celle qu’ils aiment la réalisation de l’idéal adoré : l’idéal n’existe pas pour eux.

192. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82

Pour le peintre et le sculpteur, l’art est une belle tête sur la toile, qui nous fasse penser, ou un beau corps de marbre, qui nous émeuve ; pour le comédien, une bonne comédie qui fasse rire.

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