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123. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

La magnificence royale que l’on étala dans la représentation, et le concours des auteurs illustres dont les talents s’étaient réunis pour exécuter plus promptement les ordres de Louis XIV. ajoutèrent un nouveau lustre à cette pièce, qui sera toujours célèbre par un grand nombre de traits ; et surtout par le tour neuf et délicat de la déclaration de l’Amour à Psyché. » Nous terminons cet article par les noms des personnages qui ont récité, dansé et chanté dans Psyché, tragi-comédie-ballet. […] La langue latine, surtout, dit presque toutes choses par leur nom, au lieu que la française se contente de faire entrevoir celles qui peuvent blesser la pudeur. […] Nous profitons de cette occasion pour parler aussi d’un cabinet curieux, surtout en tragédies et en comédies, appartenant à M. le comte de Boulbon, qui nous en a offert la communication d’une manière extrêmement obligeante, nous ferons usage de cette offre dans les volumes suivants.

124. (1846) Quelques pages à ajouter aux œuvres de Molière (Revue des deux mondes) pp. 172-181

On a même observé que, fidèle à la vérité jusque dans ses parades les plus bouffonnes, Molière n’avait qu’assez peu exagéré le ridicule du cérémonial usité pour la prise de possession du bonnet doctoral, surtout dans la faculté de Montpellier.

125. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre II. La commedia dell’arte » pp. 10-30

Citons l’Arioste, le cardinal Bibbiena, Machiavel, Ruzzante, Pietro Aretino, Francesco d’Ambra, Ludovico Dolce, Annibal Caro et des milliers d’auteurs qui firent admirer surtout la complication et la singularité des intrigues qu’ils inventaient et les grâces souvent trop libres de leur dialogue.

126. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309

Par la suite, cet équilibre se rompit de nouveau, et ce fut alors la littérature et surtout la littérature dramatique de l’Italie qui fut redevable à la France de bien plus que celle-ci ne lui avait dû jadis.

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