L’amour de la patrie, l’amour paternel ou maternel, l’amour proprement dit, la piété filiale, la tendresse des frères et des sœurs, la tendresse conjugale, l’ambition, la fidélité, l’honneur ; les voilà tous, ou peu s’en faut. […] Antigone, sœur du mort, ose, au mépris du décret royal, couvrir de poussière le cadavre de Polynice et faire des libations sur sa tête chérie. […] Sur le point d’être envoyée à un supplice horrible, la sœur de Polynice, jusque-là inébranlablement préparée à toutes les conséquences du crime qu’elle a voulu commettre, sent son cœur faillir ; elle pleure ; elle trouverait quelque consolation dans la sympathie de ses concitoyens.
Apollon, grâces au destin, Du Parnasse, prince divin, Et les trois fois trois sœurs pucelles, Grandes d’esprits, et de corps belles, À tous qui ces lettres verront, Ceux qui sauront lire liront. […] Lorsqu’Alcidas, afin d’obliger Sganarelle à tenir la parole qu’il a donnée d’épouser sa sœur, veut lui donner pour la troisième fois des coups de bâton, et que celui-ci a répondu, j’épouserai, j’épouserai, le père arrive qui, après avoir contraint sa fille à donner la main à Sganarelle, s’écrie, en lui adressant la parole : Le Ciel soit loué : m’en voilà déchargé, et c’est à vous désormais que regarde le soin de sa conduite. […] — Pardonnez-moi, répondit le comte, qui devinait leur intention, j’ai oublié d’épouser votre sœur, et j’y retourne avec vous pour finir cette affaire. » a. […] « D’abord le petit Raisin l’aîné et sa petite sœur Babet se mettaient chacun à son clavier et jouaient ensemble une pièce que le troisième clavier* répétait seul d’un bout à l’autre, les deux enfants ayant les bras levés. » *.
Ainsi Armande dit à Henriette : Songez à prendre goût des plus nobles plaisirs, Et, traitant de mépris les sens et la matière, A l’esprit, comme nous, donnez-vous tout entière… Mariez-vous, ma sœur, à la philosophie.
Dans l’Etourderie, piece en un acte, en prose, de Fagan, Mondor a vu dans une maison la sœur & l’épouse de Cléonte.