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177. (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76

Je me fis à moi-même des reproches sur une délicatesse qui me semblait ridicule et j’attribuai à son humeur ce qui était un effet de son peu de tendresse pour moi.

178. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE II. De l’Etat, de la Fortune, de l’Age, du Rang, du Nom des Personnages. » pp. 39-75

nous voilà grands amis, ce me semble. […] Toutes nos pieces modernes semblent se disputer le droit de nous en fournir des exemples.

179. (1871) Molière

Il lui semblait qu’il devait continuer ce spectacle à machines, qui plaisait tant à Monseigneur le cardinal ; c’est pourquoi il composa, à l’exemple des Italiens, cette féerie incomplète : Don Garcie de Navarre, assez peu digne de tenir sa place au rang des œuvres qui vont venir. […] Nous lisions, l’autre jour, dans les jugements du savant Baillet,le Cocu imaginaire, annoncé ainsi : le C… imaginaire ; tant le nuit semblait nouveau dans les premiers jours de ce siècle éclairé de si douces clartés.

180. (1800) Des comiques d’un ordre inférieur dans le siècle de Louis XIV (Lycée, t. II, chap. VII) pp. 294-331

Il avait alors près de quarante ans, et la vie qu’il avait menée jusque-là, son goût pour le plaisir, le jeu et les voyages, semblaient promettre si peu ce qu’il est devenu, que quelques détails sur sa personne et ses aventures, d’ailleurs curieux par eux-mêmes, ne feront que répandre plus d’intérêt sur la notice de ses ouvrages dramatiques. […] Peut-être aussi le désir de plaire au roi de Suède, qui ne l’avait engagé à faire ce voyage que pour recueillir les observations qu’il y pourrait faire, le rendit plus attentif qu’il ne l’aurait été naturellement ; et cet esprit courtisan que l’on prend toujours auprès des rois asservit pour un moment l’humeur indépendante et libre d’un homme absolument livre à ses goûts, et qui semblait ne changer de lieu que pour se défaire du temps.

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