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137. (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923

Mais à cette date, — 1627-1631, — la Société d’Ignace de Loyola, attaquée à la fois par les Parlemens et par des ordres religieux rivaux, était assez mal en cour.

138. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Ce fut donc en courant, au milieu du bruit et des embarras, dans les hôtelleries, qu’il écrivit l’Étourdi, le Dépit, et vingt autres pièces dont je n’ai point parlé : Les Trois Docteurs rivaux, Le Maître d’École, Gorgibus dans le Sac, Le Médecin volant, Le Grand benêt de fils, Le Docteur amoureux, toutes pièces maintenant perdues ou oubliées, ou devenues très rares. […] Au commencement de 1670, le roi voulant de nouveau donner à sa cour un spectacle extraordinaire, et qui réunît tout ce que le théâtre pouvait fournir de divertissements, choisit pour sujet, afin de pouvoir lier ensemble tant de choses diverses, deux princes rivaux qui, dans le champêtre séjour de la vallée de Tempé, où l’on doit célébrer la fête des jeux pythiens, régalent à l’envie une princesse et sa mère de toutes les galanteries dont ils se peuvent aviser.

139. (1747) Notices des pièces de Molière (1670-1673) [Histoire du théâtre français, tome XI] pp. -284

Deux princes rivaux s’y disputent, par des fêtes galantes, le cœur d’une princesse.

140. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

Lui-même, le roi-soleil, le plus roi des rois, disait Leibnitz, en habit d’émeraudes et de perles, il lui fallait se défendre contre tant de jeunes gens, ses rivaux légitimes, chargés de représenter à ses côtés les héros du poème et les dieux de l’Olympe : Lycée, Yolas, Alceste, Télamon et le berger Endymion dans sa grotte du mont Lathmos. […] Dans la vie de la sainte recluse il y eut encore bien des agitations ; la mort de son enfant, les désordres du roi, qui lui était toujours si cher, et enfin la visite, qu’elle reçut dans son cloître, de madame de Montespan, son adultère rivale, cette fière et insultante beauté que le dépit poussait au cloître, comme l’amour y avait précipité sœur de la Miséricorde, et qui dut verser bien des pleurs de rage quand elle se vit remplacée dans ce poste éminent par une de ses protégées, (grâces pleurez !

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