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97. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Savez-vous bien qu’il y a tel passage des sermonnaires contre les mauvais riches, que nous n’oserions pas reproduire ici, dans ce journal, par crainte d’être traduits en police correctionnelle pour excitation à la haine des citoyens les uns contre les autres. […] Ce mari est riche et mène un grand train de maison. […] Mais c’est un bourgeois riche et instruit ; c’est un bourgeois intelligent et cossu. […] Point du tout ; c’est un marquis fort riche, bien que sans argent, mais il ne s’en soucie guère, qui s’amuse de sa double passion pour le jeu et pour sa maîtresse et qui pirouettera toujours au-dessus, avec une aimable insouciance. […] La rime n’est pas riche, d’accord ; il y manque la consonne d’appui ; à la bonne heure.

98. (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20

Que fait-il dans Les Précieuses ridicules, sinon porter un premier coup à cette risible et malheureuse affectation de manière et de langage qui, de l’hôtel Rambouillet, s’étendait déjà aux riches familles bourgeoises, et, à l’exemple des Arthénice et des Thélamire, transformait en Polixène et en Aminthe Mlles Cathos et Madelon ; cette fille et cette nièce prétentieuses du tout rond Gorgibus ?

99. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. Du Genre larmoyant. » pp. 103-122

Le Questeur ou le Trésorier de l’épargne, chargé de vendre les prisonniers de guerre, lui propose un Elien très riche & son esclave, qui sont Philocrate & Tindare.

100. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. » pp. 106-124

Il loua la vertu de sa Pénitente, lui promit de faire ce qu’elle souhaitoit ; &, comme il savoit qu’elle étoit riche, il ne manqua pas de lui recommander la charité....

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