Au reste, pour le génie de Molière, ce long séjour en province n’a pas été un malheur. […] Il me reste, messieurs, à arriver aux deux œuvres de Molière qui supposent la réunion des trois facultés que j’ai précédemment signalées. […] Ceci est bien pis que le reste, et je vous aimerais encore bien mieux comme vous étiez auparavant39. […] Au reste, il y a beaucoup à dire sur Dom Juan. […] Comme nous sommes bien supérieurs au reste des hommes, qu’importe à quel titre ils nous adorent, génies, rois ou dieux ?
Le reste de l’acte est tout-à-fait semblable au précédent ; nous verrons à quoi d’Ancourt fera servir Béatrix, sa maîtresse, le billet doux, le rendez-vous donné & accepté. […] On l’a fait enlever à forfait : Il n’en reste, Monsieur, aucun morceau sur terre, Et l’endroit est tout prêt pour en faire un parterre. […] Bon : le reste est une suite de cela, mes enfants. […] Oublions-les en faveur des imitations excellentes qui sont dans le reste de l’ouvrage.
Au reste, l’extrême importance attachée au mérite d’un dénouement est un des raffinements, une des exigences de notre goût moderne. […] Il me reste à parler de Molière comme imitateur des autres écrivains. […] Au reste, l’absence des deux actes en question n’est encore qu’une preuve négative, c’est-à-dire une de ces preuves qui ne prouvent rien. […] Il me reste à le faire voir au milieu de sa troupe. […] Le reste est une vision ridicule qui ne mérite pas même d’être combattue.
La prude Arsinoé, qui a voulu la brouiller avec ses amants pour pêcher un mari en eau trouble, reste sans mari et prude, avec le châtiment de se l’entendre dire. — Quant à Alceste, est-il puni ? […] Surtout, ne voyons pas des emprunts habilement déguisés dans l’émulation d’un génie qui, même en imitant, reste créateur ; car, tout ce qu’il touche, il le rend sien, et c’est encore la nature qu’il étudie dans les livres. […] L’optique théâtrale Sans nous attarder plus longtemps à l’analyse, hâtons-nous d’en venir à des critiques sur lesquelles il nous reste à dire un mot. […] La Princesse d’Élide n’a que le premier acte en vers ; le reste suit en prose ; et, comme le dit spirituellement un contemporain, la comédie n’a eu le temps cette fois que de chausser un seul brodequin . […] La situation de l’acte IV, scène 3, est celle de Mithridate dérobant à Monime le secret de son cœur ; mais le ton n’est pas le même, et la note reste comique.