J’écoute le reproche, & n’en suis point la cause.
il faut vous attendre à ses reproches.
V, pag. 282, cite en note une réponse du roi au reproche la tyrannie que lui faisait le prince de Condé : « Je n’ai fait en ma vie acte de tyrannie que quand je vous ai fait reconnaître pour ce que vous n’étiez point. » Ces paroles se rapportent à la cassation ordonnée par le roi, d’un arrêt qui déclarait enfant adultérin le prince de Condé.
Il reproche à Molière de tomber dans la scurrilité. […] Pour Arnolphe, c’en est fait ; elle sent qu’il l’a trompée ; elle est dans une ombre qu’elle lui reproche, parce que c’est lui qui l’a faite, et que ceux qui font l’ombre ont de mauvais desseins ; et elle va tout naturellement du côté où elle entrevoit protection et lumière, comme les fleurs dans les caves montent vers le soupirail, vers le soleil, vers l’amour. […] Cet instrument, vous le savez, c’est un peu son nez, mais ce n’est pas moi qui lui en ferai reproche.