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212. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164

Mais les pieces sont plus souvent lues que représentées ; le lecteur ne voit pas la décoration : d’ailleurs il faut que l’Auteur m’apprenne positivement chez qui ou devant la maison de qui je suis.

213. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

J’avoue que je comptais citer ici en toutes lettres un nom parmi ceux de nos écrivains préférés, le nom de celui qui me paraît représenter plus brillamment encore que les autres, par l’élévation de son talent, la fermeté... l’entêtement de son parti pris et l’éclat incomparable de ses victoires dramatiques, ce genre, cette forme, ce moyen particulier d’émouvoir qui nous passionne depuis si longtemps déjà et que Molière, du haut des cieux, doit contempler avec une curiosité toute paternelle, quoique peut-être un peu étonnée.

214. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XI. De la Religion. Principe et Sanction de la Morale de Molière. » pp. 217-240

. — Les trois premiers actes du Tartuffe avaient été représentés chez Monsieur en septembre 1664, et aussi aux fêtes de Versailles la même année.

215. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Mais ce n’est point pour longtemps ; et il révèle à l’ingénue épouvantée que toutes ces choses qu’elle raconte, si plaisantes et si douces, sont des péchés, et des plus gros ; et qu’il entend, si le blondin se représente, qu’elle lui jette la porte au nez et, s’il heurte, un grès par la fenêtre ; et la pauvre petite a beau objecter : Las ! […] Mais pourquoi, me dira-t-on, tenez-vous tant à prouver que Molière ne s’est pas mis en scène dans ce ridicule Arnolphe, qu’il nous représente si gaiement berné par sa pupille, une innocente, et par ses valets, deux imbéciles ?

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