/ 92
82. (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131

La superstition n’a rien de commun avec la vraie religion : elle est même sa pire ennemie. […] Dans cet effondrement général, les principes eux-mêmes fléchissent : la morale et la religion s’égarent et s’oblitèrent au milieu de toutes sortes de subtilités et de distinctions, et l’indulgente casuistique des jésuites vient en aide a la démoralisation publique.

83. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

On oppose la poésie à la prose, à la science, à la religion, à l’industrie, à la musique, à la peinture, à la sculpture, à l’architecture, que sais-je ?

84.

C’est l’organe de cette petite église littéraire que nous voulons fonder, quelque chose comme Les Annales de propagation de la foi dans notre religion spéciale. […] Le récit de Dominici, quoiqu’absolument faux, n’en est pas moins fort curieux, et nous le traduisons textuellement : « Antonio Verrio fut curieux de connaître d’autres pays que l’Italie et d’étudier les méthodes de travail d’autres peintres de talent, comme aussi les mœurs des autres nations ; c’est ainsi que, voyageant par divers lieux, il arriva en France, en un lieu nommé le Canal, où il y avait des huguenots, avec lesquels il lia commerce d’amitié ; de sorte qu’en fraternisant avec eux, il vint à prévariquer dans sa foi et à professer leur religion.

85. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

Ce mêlange de religion & de bouffonnerie déplut aux gens sages.

/ 92