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196. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Mercure le menace de le rouer de coups s’il regarde seulement la porte, & il est obligé de retourner sur ses pas.

197. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. M. ROCHON DE CHABANNES. » pp. 381-412

Il faut d’abord se frotter le front, se ronger les ongles, regarder le ciel, fixer les yeux en terre, frapper du pied, battre la muraille de sa tête, marcher à grands pas, s’arrêter tout court, s’asseoir tantôt sur une chaise, tantôt sur une autre.

198. (1919) Molière (Histoire de la littérature française classique (1515-1830), t. II, chap. IV) pp. 382-454

Au moins couvre-t-on ici l’indiscrétion d’un semblant de prétexte : Molière, nous dit-on, s’est mis lui-même en scène, avec ses acteurs : « Dans ses pièces il a joué tout le monde, — écrit Lagrange dans sa Notice, — puisqu’il s’y est joué le premier en plusieurs endroits sur les affaires de sa famille et qui regardaient ce qui se passait dans son domestique. » Pourtant, en dépit de Lagrange, il ne faut pas aller trop loin. […] On ne perdra point de temps à imaginer des faits invraisemblables, ou à feuilleter avidement le théâtre espagnol pour en découvrir  : il suffit de se mettre à la fenêtre et de regarder vivre les hommes, ou de se rappeler ses propres aventures et de faire son examen de conscience.

199. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250

Vous savez que ce soin me regarde, & que je me suis, en votre présence, chargé de cette affaire.

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