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130. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Ménage s’en prétendit guéri du style amphigourique. […] Les plus savants commentateurs prétendent que la pièce est tirée des Adelphes de Térence ; n’en croyez rien : Molière l’a tirée de lui-même. […] Croirait-on que plusieurs prétendaient, avec naïveté, que la fausse et la vraie dévotion ayant au dehors beaucoup de ressemblance, on ne devait pas railler l’une par respect pour l’autre ? […] Quelques hommes tombés dans l’incrédulité se prétendirent ramenés par Molière à la vraie religion. […] Messieurs les marquis critiquaient et prétendaient que Molière était fou.

131. (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490

Ce n’est pas qu’il en soit mort de chagrin, comme on l’a prétendu : car il ne trépassa que dix ans après. […] Quand il flatte la mère et sa manie, il prétend arriver à la fille, et par elle à la dot. […] Il faut bien dire qu’alors Louis XIV en voulait fort aux personnes austères qui, à la Cour, prétendaient gêner les caprices de son cœur. […] Ses parents prétendirent que ses facultés baissaient, et voulurent le mettre en curatelle. […] Ses parents prétendirent que ses facultés baissaient, et voulurent le mettre en curatelle.

132. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVIII. Des Pieces intriguées par des noms. » pp. 204-215

Je prétends qu’aujourd’hui cet argent soit rendu.

133. (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302

Il prétend venir de Tunis, comme Lisandre de Tunis, d’Alger, de Jaffe, de Tyr, du Caire (le Parasite, III, 5, p. 77).

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