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140. (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834

On se plaint volontiers de la pénurie des renseignements à son sujet, mais, en remontant aux sources, on s’aperçoit vile que les contemporains du poète peuvent amplement satisfaire notre curiosité. […] V S’il fallait en croire deux propos rapportés par Grimarest, il y aurait eu désaccord entre les goûts de Molière et la carrière qu’il suivait : « Ne me plaignez-vous pas, disait-il un jour à Mignard et à Rohault, d’être d’une profession si opposée à l’humeur que j’ai présentement ?

141. (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436

Aussi, tout en riant de ses boutades, on le respecte, on l’aime, on le plaint dans ses disgrâces les plus méritées.

142. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322

Plaignons quiconque ne voit aucune difficulté dans l’art d’animer par un dialogue précis & naturel, & par un jeu théâtral analogue au sujet, ce qu’un Romancier laisse tout uniment tomber de sa plume.

143. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

Pourceaugnac seul se plaint à l’amour : Amor, crudel amor !

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