Malgré cela, comme un enfant n’avait pas le temps de devenir barbon en 40 jours, il fallait plusieurs personnes pour jouer le même rôle. […] Le livret ne manquait pas d’indiquer ces changements de personnes dans le même rôle, « Ci fine la jeune Sara, Ci fine le petit Samuel, Fin du petit Salomon, cy fine Jésus enfant, cy commence la grande Marie. »On remontait même jusqu’à la naissance des personnages. […] Et parmi ces confrères nous voyons des personnes de toutes conditions. […] Attenter Ne puist-il ja à ma personne !
Molière [La Jalousie du Barbouillé, Le Médecin volant] Toutes les personnes un peu versées dans la littérature du théâtre savent que Molière, dans sa jeunesse, et lorsqu’il parcourait la province en jouant la comédie, a composé plusieurs farces dont les titres seuls étaient connus jusqu’ici.
Ce titre se donnait à plusieurs personnes ayant de certains offices. […] La grande coquette posait pour l’impeccable, mais elle ne trompait personne, sinon ses amoureux ; car c’est là le privilège de l’amour de croire que tout ce qui tombe de la bouche d’une femme est parole d’évangile. […] Comment cela se pourrait-il faire, car il n’y a point de personne au monde qui soit moins façonnière que moi ? […] On voit en vous les qualités De ces héroïques personnes Que tous les jours vous nous représentez. […] Qu’il tombe au milieu d’une conversation, c’est un loup dans une bergerie, personne n’ose plus souffler mot.
Louis Kroneck, le directeur artistique, l’âme de cet ensemble merveilleux, qui dispose tous les tableaux en peintre de premier ordre et qui sait grouper des masses de cent personnes comme reproduire un salon du temps de Molière. […] « Mais depuis bien longtemps, et c’est mon désespoir, « Je n’y vois personne s’asseoir « Que le Malade imaginaire ! […] Molière avait espéré, dit-on, que personne ne se méprendrait sur son intention de ridiculiser les fadeurs, les concetti, et le style précieux que la poésie française empruntait alors aux sonnettistes italiens. […] Aurélie avait trouvé un amant parfait en la personne d’un certain « malheureux dont l’air était plus sévère qu’agréable, et qui paraissait élevé au-dessus du commun des hommes par la recherche de ses discours et par la vivacité de ses pensées. […] Elles sont toutes trois des plus aimables personnes de la Cour, et ont autant d’esprit que de beauté.