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166. (1697) Poquelin (Dictionnaire historique, 1re éd.) [graphies originales] pp. 870-873

Voilà des obstacles qui ne nous permettent point d’admirer ce Poëte selon son merite, ni en Grec, ni en Latin, ni dans les versions Françoises les plus fidelles, & les plus polies, qu’on nous en puisse donner.

167. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276

Permettez-moi donc de me flatter que mes larmes vous ont touché ; ou souffrez que, pour me punir de vous avoir offensé, je m’arrache une vie qui me devient odieuse si j’ai le malheur de vous déplaire encore. | Le jeune Comte ayant alors ramassé son épée, la tourna contre lui-même, & attendoit la réponse du Marquis, qui le releva, & l’embrassa tendrement

168. (1663) Nouvelles nouvelles pp. 210-243

Mais pour retourner au fameux comédien dont vous m’avez parlé, ses ouvrages n’ayant pas tout le mérite de sa personne, vous me permet trez de ne vous en dire rien autre chose, sinon que c’est un fort galant homme.

169. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre II » pp. 12-29

Il ajoute : Il n’est pas permis, en chose si importante, de faire passer des soupçons et des conjectures pour des vérités assurées.

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