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98. (1819) Notices des œuvres de Molière (III) : L’École des femmes ; La Critique de l’École des femmes ; L’Impromptu de Versailles ; Le Mariage forcé pp. 164-421

Mais c’est principalement comme peinture de mœurs et de ridicules, que La Critique est tout à fait digne de Molière. […] L’auteur de ce commentaire possède un de ces portraits : la perruque farcie de laurier, l’épaule en avant, la main sur la hanche ; tout s’y trouve, et la peinture héroïque de Mignard force à reconnaître une certaine fidélité dans la description grotesque de Montfleury.

99. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200

La Poésie & la Peinture, comédie allégorique, en trois actes, en prose.

100. (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83

On est donc forcé, pour corroborer la page de l’Évangile en question, de prendre ça et là, dans Molière, dans le Bourgeois gentilhomme par exemple, tel portrait, telle peinture de cœur, tel cri de vérité humaine : et on les interprète en faveur de la thèse. […] C’est le goût d’aujourd’hui de la critique de ne rechercher dans l’œuvre d’un homme que des peintures de lui-même et de son intérieur.

101. (1734) Mémoires sur la vie et les ouvrages de Molière (Œuvres de Molière, éd. Joly) [graphies originales] pp. -

La finesse du dialogue, & la peinture vive de l’amour dans un amant italien & dans un amant françois, font le principal mérite de cette piéce, qui étoit ornée de musique & de danses. […] n’est qu’une peinture simple des ridicules qui étoient alors répandus dans la province, d’où ils ont été bannis, à mesure que le goût & la politesse s’y sont introduits.

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