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198. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

  Bienheureux Scudéri, dont la fertile plume   Peut tous les mois sans peine enfanter un volume !

199. (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38

Autant le seigneur Arnolphe s’est donné de mal, autant cet étourneau d’Horace prend peu de peine ; il ne fait que paraître le long du mur, le nez au vent et le poing sur la hanche, entassant, Dieu merci, étourderies sur maladresses, et le pauvre petit espalier ensorcelé lui tend amoureusement toutes ses branches, secouant au-devant de la jeunesse qui passe le trésor de ses premiers fruits.

200. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264

Peine perdue : Turlupin était inflexible.

201. (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914

Quand ils n’ajoutent pas aux vers qu’ils récitent quelques syllabes inattendues, ils prêtent à l’auteur des intentions qu’il aurait peine à comprendre, qu’il désavouerait avec dépit.

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