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99. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264

Les réflexions de Zucca ne remplissent pas moins de quatre pages de texte, et sont très impertinentes pour le sexe féminin.

100. (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834

On regrette de ne pouvoir plus joindre à cette liste le portrait du Louvre, qui inspirait à Michelet une si belle page descriptive ; mais, longtemps classé sous le nom de Mignard, puis de Lebrun, puis de Lenain, il reste aujourd’hui sans attribution et pourrait bien n’être, lui aussi, qu’un Molière par à peu près. […] Je n’essaierai point de refaire l’admirable page de Port-Royal, où Sainte-Beuve a défini la tristesse de Molière ; il me suffira de dire qu’ayant commencé par la gaîté exubérante et sans arrière-pensée dans l’Étourdi et le Dépit amoureux, le poète s’achemine peu à peu vers la gaîté réfléchie et raisonneuse.

101. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. » pp. 294-322

Louis Riccoboni dit dans ses Observations sur la comédie, article huitieme de l’Imitation, page 147, que le sujet du Tartufe est pris de deux canevas très anciens.

102. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVII. » pp. 323-356

Qu’on lise Plaute, on verra que pour dire moins que Moliere ne dit dans ces quatre vers, il fait débiter à Mercure un monologue de trois pages.

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