/ 124
114. (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314

Un jour qu’il dînait en nombreuse compagnie avec Mr le marquis de M***1, dont le Page, pour tout domestique, servait à boire, il souffrait de n’en point avoir aussi souvent que l’on avait accoutumé de lui en donner ailleurs ; la patience lui échappa à la fin. ―  Eh ! je vous prie, Marquis, dit-il à Mr de M***, donnez-nous la monnaie de votre Page.

115. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Mais à quoi bon tant de pages pour honorer le génie ! […] Sans doute, quand il mit au jour cette page de sa vie, il était imbu de Térence, et c’est la plus antique de ses pièces ; mais qu’il me paraît peu intelligent de ne voir là qu’une imitation littéraire !

116. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

L’imitation est aussi innocente de plagiat dans les pages du poète que sur la toile du peintre ; tout ce qui rend la nature y est fait de génie.

117. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Une page d’album Un soir que l’auteur de ces études, moins âgé de quelques années, se trouvait seul au foyer du Théâtre-Français, une bouffée d’orgueil lui monta au cerveau, comme il en vient aux jeunes gens et fit éclore les vers suivant qu’il confia à un album: il les transcrit ici, malgré leur peu de valeur, comme témoignage de sa poétique admiration pour les beaux génies, l’honneur éternel de son pays. […] C’est un livre dont il a lu toutes les pages.

/ 124