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141. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

Personne, au dix-septième siècle, ne vit d’abord bien clairement que Les Fables d’Ésope mises en vers par M. de La Fontaine étaient une invention exquise, une œuvre originale et impérissable.

142. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VII. De l’Amour. » pp. 121-144

  Dans l’auteur original (Maria de Zayas, Nouvelles, la Précaution inutile ; voir la traduction de Scarron dans ses Nouvelles tragi-comiques), l’Agnès, n’apprend d’un amant brutal que la pratique sensuelle du plaisir, et reste aussi sotte après qu’avant.

143. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. Brueys & Palaprat, imitateurs, comparés avec Térence, Blanchet, un Auteur Italien, & la nature. » pp. 100-132

Quant à la scene dans laquelle Agnelet combat Patelin avec les armes qu’il tient de lui, elle est meilleure dans l’original, en ce qu’elle est préparée dès l’entrevue du berger avec l’Avocat.

144. (1769) Éloge de Molière pp. 1-35

Les découvertes nouvelles faites sur le cœur humain par La Bruyère et d’autres Moralistes, le comique original d’un Peuple voisin qui fut inconnu à Molière, ne donneraient-ils pas de nouvelles leçons à un Poète comique ?

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