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110. (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. Regnard imitateur comparé avec la Bruyere, Plaute, & la nature. » pp. 5-50

le messager qui seroit venu nous apporter la nouvelle de ta mort, vieux pourri, seroit incomparablement mieux reçu, car on la souhaitoit aussi ardemment qu’on craignoit ta venue. […] Votre fils a acheté la nouvelle maison de celui qui demeure à côté de nous. […] Le vieux Menechme apprend cette triste nouvelle, pleure son fils, son petit-fils, & fait prendre le nom de Menechme à Sosicle.

111. (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334

L’Étourdi et Le Dépit amoureux appartiennent à ce période ; mais ils le terminent : Les Précieuses ridicules vont ouvrir une ère nouvelle.

112. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVIII. Les Caracteres des hommes n’ont pas plus changé que ceux des professions. » pp. 303-311

La nouvelle Philaminte n’avouera pas qu’elle chasse un domestique parce Qu’il a, d’une insolence à nulle autre pareille, Après trente leçons, insulté son oreille Par l’impropriété d’un mot sauvage & bas Qu’en termes décisifs condamne Vaugelas48 ; . . . . . . . . .

113. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

(eût-on pu croire cette nouvelle ?) […] Je viens vous annoncer une grande nouvelle. […] Cette nouvelle fait comprendre à M. […] Le mari, qui agit au dehors, revient chaque jour auprès d’elle pour se rafraîchir, pour faire une nouvelle provision de force et de courage. […] Racine trouva dans la religion la force nouvelle qui lui permit de se surpasser et de tenir au delà des promesses de son talent.

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