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88. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Un bon mois pour mourir, c’est le mois d’août, le mois juin, le mois de juillet, mais le soleil est si beau, l’air est si doux, que l’on ne se hâte guère, alors tant pis pour vous, si vous mourez en carnaval ! […] Six mois se passent. […] Deux duels en six mois ! […] Personne, de nos jours, n’a deux duels en six mois, sinon les bretteurs de profession. […] dit Pasquin, il y a quinze mois que vous ne l’avez vue !

89. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502

Depuis cinq ou six mois nous étions ennemis : Il passa par Poitiers, où nous prîmes querelle ; Et comme on nous fit lors une paix telle quelle, Nous sûmes l’un & l’autre en secret protester Qu’à la premiere vue il en faudroit tâter.

90. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. Du Genre gracieux. » pp. 91-102

Il mourut à Paris le 9 Janvier 1757, à cent ans moins un mois deux jours.

91. (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXII. Des Caracteres principaux ou simples, des Caracteres accessoires, des Caracteres composés. » pp. 337-349

Léandre, jeune homme de vingt ans, est sur le point de se marier avec Lucinde ; mais il frémit en songeant qu’il va s’unir à une personne aussi jeune que lui : il devient épris d’Eliante, jeune veuve, tante de sa prétendue : il commence par engager Lucinde à ne pas précipiter leur union ; il se charge d’obtenir de la tante un délai de trois mois, il le lui demande.

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