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121. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XII. » pp. 251-273

Cette piece fut représentée à Versailles, le 15 Septembre 1665, & à Paris, sur le théâtre du Palais Royal, le 22 du même mois.

122. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVI » pp. 413-441

Au mois de mai 1684, dans son discours de réception à l’Académie française, il fit amende honorable sur ses contes, qui avaient longtemps empêché le roi d’approuver son élection.

123. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

Un bien qui nous est dû se fait si peu priser, Qu’une femme fût-elle entre toutes choisie, On en voit en six mois passer la fantaisie… Mais, lui dit Éraste, tout le monde médit de ce joug, et tout le monde y vient : Pour libertin qu’on soit, on s’y trouve attrapé : Toi-même, qui fais tant le cheval échappé, Nous te verrons un jour songer au mariage. […] Que, pour échapper à un mariage pour lequel son père a donné parole, il imagine de dire qu’il est marié, et à trois mois d’être père, et qu’il fasse ce charmant conte des deux amants surpris dans l’alcôve, son mensonge s’explique encore : il est utile, il est dans l’action.

124. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

J’ai entendu Hamlet dire : Ma mère en épouse un autre au bout d’un mois, un autre qui n’approche pas plus de lui qu’un satyre d’Apollon. À peine le mois écoulé ! […] Au mois de mai 1664, une fête éblouissante fut donnée dans ce splendide palais de Versailles, à mademoiselle de la Vallière relevée de ses premières couches.

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