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181. (1884) Tartuffe pp. 2-78

Et sur qui l’on fit cet autre ‌ 19 : Notre archevêque de Paris, Quoique tout jeune a des faiblesses, Et crainte d’en être surpris S’est retranché sur ses maîtresses.

182. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

S’il entendait Horace dire à sa maîtresse galamment : « Madame, vous êtes à Paris, et tout le monde vous voit de trois lieues de la ville, car chacun vous voit de bon œi l305 ; » si, au moins, il voyait Alain tremper ses doigts dans le potage de Georgette, et celle-ci lui envoyer la soupe et la soupière au nez, ces bonnes plaisanteries lui épanouiraient la rate ; mais L’École des femmes n’en offre pas de pareilles.

183. (1900) Molière pp. -283

Je tâcherai de vous les présenter successivement l’un après l’autre ; je ne crois pas à l’existence, chez la plupart des hommes de génie, d’une faculté unique et maîtresse. […] À peine sont-elles en état de bégayer, qu’elles sont en ce genre de ruse passées maîtresses ; moins même elles sont façonnées, moins elles sont élevées, moins elles sont expérimentées, plus elles sont jeunes, plus rusées elles se montrent, justement parce qu’elles sont les femmes les plus voisines de l’instinct, les plus abandonnées à l’instinct qu’on ait jamais mises sur aucun théâtre. […] Il y a vraiment dans Rousseau deux âmes, deux grandes facultés contraires : — j’en suis encore fâché pour la théorie de la Faculté maîtresse ; il y a chez lui un grand poète et un grand tribun.

184. (1765) Molière dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert (compilation) pp. 2668-16723

Mais qu’Harpagon avare, cede sa maîtresse pour avoir sa cassette, ce n’est qu’un trait d’avarice de plus, sans lequel toute la comédie ne laisseroit pas de subsister.

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