On y voit que, bien loin d’avoir éprouvé une chute, le Festin de Pierre composa le spectacle à lui seul pendant quinze jours consécutifs, et fit faire à la comédie un égal nombre de recettes très productives : celle, entre autres, de la cinquième représentation s’éleva à 2,390 livres, somme très considérable pour le temps.
Suivant l’usage universitaire, on a fait imprimer un placard qui a été distribué avec le livre du ballet et qui est ainsi conçu : LES THÈSES DE SCARAMOUCHE « Al gran Scaramuzza Memeo Squaquera, de civitate Partenopensi, figlio de Tammero e Catammero Cocumero Cetrulo, et de madama Papera Trentova, e parente de messere unze, dunze e trinze e quiriquarinze, e de nacchete, stacchete conta cadece ; et de Tabuna, Tabella, Casella, Pagana, Zurfana, Minoffa, Catoffa, e dece Minece, etc.
. — À propos d’un livre de Louis Veuillot Le livre de M. […] Les sermons sur ce point sont aussi inutiles que les livres de morale ou les comédies. […] Larroumet, auteur d’un livre sur Marivaux, qui a été couronné par l’Académie française. […] C’est un livre très amusant pour ceux qui sont, comme moi, de simples amateurs en musique, des profanes. […] On a, depuis Molière, tenu à jour le livre des comptes de la Comédie-Française.
Le Roi arrive enchaîné, & parle ainsi à son fils : Fils coupable, assouvis toute ta cruauté ; Le sort te livre ta victime : Acheve d’accomplir sur ton pere & ton Roi Ce que les Cieux trop vrais lui prédirent de toi.