Vous verrez de quelle manière se tournera cette amitié. » Le 28 juin, « Vous jugez très bien de Quantova (madame de Montespan) ; si elle peut ne point reprendre ses vieilles brisées, elle poussera sa grandeur au-delà des nues ; mais il faudrait qu’elle se mît en état d’être aimée toute l’année sans scrupule111 ; en attendant, sa maison est pleine de toute la cour ; les visites se font alternativement, et la considération est sans bornes. » Une autre lettre, du 3 juillet, porte : « Ah !
Molière,dit Chapelle, puisque vous voilà, jugez si j’ai tort. […] Jugez-nous, Molière, je vous en prie,dit M. […] bien, ajouta-t-il, je fais grâce à ce maraud-là, en faveur de l’équité avec laquelle vous venez de nous juger. […] Il avait écrit pour lui, pour sa figure amaigrie, le rôle du Limousin, que les médecins, rien qu’à le voir, jugent atteint d’une mélancolie hypocondriaque.
À quelles tortures ne livre-t-elle pas le pauvre homme quand elle lui raconte ce ruban qu’Horace lui a pris, et qu’à sa demande, s’il n’a point exigé d’elle d’autre remède, elle répond : Non, vous pouvez juger, s’il en eût demandé, Que pour le secourir, j’aurais tout accordé.
les gens d’esprit subtilisent sur la piece, jugent ses vers & ses détails : les bonnes gens, qui ne connoissent que Plaute, Térence & Moliere, secouent la tête, ne disent mot, & attendent une révolution heureuse dans la littérature.