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147. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377

Vous verrez de quelle manière se tournera cette amitié. » Le 28 juin, « Vous jugez très bien de Quantova (madame de Montespan) ; si elle peut ne point reprendre ses vieilles brisées, elle poussera sa grandeur au-delà des nues ; mais il faudrait qu’elle se mît en état d’être aimée toute l’année sans scrupule111 ; en attendant, sa maison est pleine de toute la cour ; les visites se font alternativement, et la considération est sans bornes. » Une autre lettre, du 3 juillet, porte : « Ah !

148. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Molière,dit Chapelle, puisque vous voilà, jugez si j’ai tort. […] Jugez-nous, Molière, je vous en prie,dit M. […] bien, ajouta-t-il, je fais grâce à ce maraud-là, en faveur de l’équité avec laquelle vous venez de nous juger. […] Il avait écrit pour lui, pour sa figure amaigrie, le rôle du Limousin, que les médecins, rien qu’à le voir, jugent atteint d’une mélancolie hypocondriaque.

149. (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20

À quelles tortures ne livre-t-elle pas le pauvre homme quand elle lui raconte ce ruban qu’Horace lui a pris, et qu’à sa demande, s’il n’a point exigé d’elle d’autre remède, elle répond : Non, vous pouvez juger, s’il en eût demandé, Que pour le secourir, j’aurais tout accordé.

150. (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138

les gens d’esprit subtilisent sur la piece, jugent ses vers & ses détails : les bonnes gens, qui ne connoissent que Plaute, Térence & Moliere, secouent la tête, ne disent mot, & attendent une révolution heureuse dans la littérature.

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